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ST   EET 

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 Le graffiti serait né a New York dans les années 1960 d’une génération de jeunes cherchant à exprimer leur identité, leurs frustrations et leur désir de changement. Ils s’opposaient à un accès limité aux musées et institutions artistiques, La rue deviens ainsi un musée a ciel ouvert où chaque Artiste peu trouvé un bout de mur pour s'exprimé et le montrer au monde. 

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UNGLE

J

“Quand on fait des grosses pièces en vandale, il faut être rapide et discret. La lumière, c’est notre pire ennemi, et quand les trains passent, on se planque comme des ninjas. On n’est jamais à l’abri de types sur la voie qui peuvent nous coller des amendes ou appeler les flics. Tout est dans la discrétion… et un peu de chance aussi, parce que franchement, on n’a pas envie de finir en photo sur le tableau d’affichage de la gare !”

Collectif F2M PARIS NORD 

Quand on y regarde de plus près les graffitis nous parlent de notre société, de ses combats, de ses idées, de ses mouvements gagné ou non... Bref, tout ce que la société essaie d'ignorer, mais que les graffitis mettent en lumière. C'est un peu comme les murs devenaient des panneaux publicitaires pour les rebelles.

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AMSTERDAM 2010

Quand on y regarde de plus près les graffitis exprime des messages sur notre société. Militants ou non, il parle de l'actualité, des combats de classe où de reconnaissance d'un mouvements d'une idées bien souvent que la société essaie d'ignorer 

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