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ÉDITO:

Le photoreportage est un métier qui demande une préparation rigoureuse et une immersion totale. Avant même la première photo , il faut avoir effectué un travail de recherche approfondi. Cela permet de comprendre le contexte, les enjeux et les acteurs du sujet que l’on va couvrir. Les prises de notes sont essentielles pour garder une trace de ces informations et pour préparer les interviews éventuelles.

Une fois sur place, je vit au plus près du sujet. Il s’agit de capter l’essence de ce qui se passe, de comprendre les émotions et les dynamiques à l’œuvre. C’est cette proximité qui permet de retranscrire fidèlement la réalité sur le terrain.

Le travail ne s’arrête pas une fois l’expédition terminée. Ensuite il faut trier et éditer ses photos. Ce travail d’édition est crucial pour choisir les images qui racontent le mieux l’histoire.

Que ce soit dans le domaine de l’éthologie, du reportage d’actualité, du sport ou de la musique, j'essaie d'apporter ma vision à travers le choix de mes objectifs. Chaque image est le reflet de mon regard sur le monde. C’est cette subjectivité qui fait la richesse de mes reportages.

En somme, c'est un métier passionnant qui demande de l’engagement, de la curiosité et une grande sensibilité. Chaque reportage est une nouvelle aventure, une nouvelle histoire à raconter. Et c’est cette passion pour la découverte et le partage qui anime chacun de mes départs.   

Chaque hiver, de mai à septembre, les communautés rurales des Hautes Terres de Madagascar sont à la fête. Les récoltes de riz sont terminées et les enfants en vacances. C'est le moment que choisissent les aînés pour honorer leurs ancêtres lors du famadihana. Cette cérémonie funèbre est l'occasion de rassembler la famille et tous les voisins pour aller en chœur « retourner les morts ».

Il est sur toutes les lèvres. Le khat, plante à chiquer, se répand comme de l'or vert au sein d'un pays exsangue. Au nord de Madagascar, le Parc national de la Montagne d'Ambre en fait les frais. Déjà en proie aux prélèvements sauvages de bois, cette forteresse écologique est aujourd'hui la cible des cultivateurs de khat. La fameuse « drogue douce » offre une reconversion rentable pour les petits paysans, et une opportunité à saisir pour les réfugiés climatiques, quitte à enflammer les plus belles forêts.

UNE VIE VACHE

FRANCE

Loin des grandes fermes industrielles et automatisées encore trop de petits exploitants n'arrive plus à imaginé un avenir dans leurs profession, endetter et au bout du rouleau voici un portrait de la France rural loin du packaging que nous offres la grande distribution.

Dans le sud du pays où sécheresse et famine sont le lot quotidien de milliers de personnes la richesse du sous-sol en pierres laisse rêver les villageois d'un possible éclat de monnaie, se qui poussent les villages à creusé des galleries avec rien de plus q'une barre à mine en guise d'outils et l'espoir apporter par les prospecteurs étrangers .

LE BLUES DERRIÈRE LES DUNES

MAROC

Le blues du désert exprime les souffrances, les aspirations et la résistance des peuples nomades du Sahara, notamment les Touaregs. Ce style musical mêle des influences traditionnelles africaines, arabes et berbères, ainsi que des influences modernes du rock, du reggae et du blues occidental. Il se caractérise par des guitares électriques, des percussions, des chants en tamasheq (la langue des Touaregs) et des mélodies envoûtantes.

Loin de sa Jamaïque natale le mouvement rasta et reggae music a su se faire une place à travers le monde . Evidemment avec le temps et diverses inspirations sur l'évolution du monde et du matériel il a évolué et a laissé place à la nouvelle génération d'artistes . Mais l'âme de cette positive vibration refleurit avec authenticité dans les lieux qui l'ont vue naitre. 

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